La mini-série qui présente notre équipe (5/8)

Découvrez la cinquième interview d’Un métier, un portrait; la mini-série qui présente les métiers présents chez Vitalis Group !

C’est Carole qui se livre aujourd’hui en vous parlant de ses missions en temps que Directeur Général de l’entreprise, de ses valeurs, et qui nous livre sa vision !

Découvrez la suite sans plus tarder, et rendez-vous rapidement pour un 6ème portrait!

Bonne lecture 🙂

1/ Lorsqu’on est directeur général, à quoi ressemble le quotidien dans l’entreprise ?

Durant cette année particulière que nous venons de vivre, j’ai envie de dire que le maître mot de ces derniers mois est : s’adapter !

Nous avons vécu une période hors normes avec un manque de visibilité important, alors la première chose pour moi a été, et est encore aujourd’hui de baliser le chemin pour les équipes et piloter avec sérénité.

Je mets un point d’honneur à donner du sens à tout ce que l’on met en place : expliquer, rassurer, conserver intactes la confiance et la motivation des collaborateurs, c’est absolument indispensable.

En parallèle, il est essentiel de ne jamais perdre de vue l’intérêt de nos clients, bien entendu.

J’ai rejoint Vitalis Group en 2017 pour évoluer vers le poste de DG en 2019. Le gros challenge a été pour moi de faire évoluer les outils et les process, sans pour autant dénaturer l’âme de cette entreprise. Les mois à venir nécessiteront sans doute encore de l’adaptation, mais nous sommes rompus à l’exercice, je suis confiante !

2/ Qu’est-ce qui vous anime ?

Je suis une guerrière. Je pars au combat chaque jour, dans le sens où, il faut composer avec les variations de rythme imposées à l’entreprise en ce moment.

Faire bloc avec les collaborateurs, et donner satisfaction à nos clients.

Il y a un problème ? Trouvons la solution !

C’est d’ailleurs de toute évidence ce qui me grise. J’ai naturellement une personnalité dynamique et optimiste. Je crois énormément en la force collective, il faut impliquer les équipes et les intéresser si on veut performer.

3/ Un idéal que vous nourrissez ?

Être vigilant à ce que systématiquement l’humain soit placé au cœur des préoccupations, aussi bien professionnelles que personnelles.

Dans l’entreprise je veille à valoriser tous les collaborateurs, à les entendre et leur donner les clés pour s’épanouir.

Côté client, il me semble évident que le capital humain est également un enjeu majeur de réussite.

Et puis, au-delà, dans les liens que chacun de nous entretient avec autrui, je suis sensible à la notion de symétrie des attentions. Elle me paraît être source de bonheur. D’ailleurs je rêve un jour de créer un concept où le client n’aurait même pas besoin de formaliser un souhait, que je l’aurais anticipé. Peut-être un concept hôtelier sur une île déserte où règneraient le calme et l’insouciance…